jeudi 21 avril 2011

#4 Les lyrics du jeudi /// Genry Gene


Genry Gene - Rebel

(Ferdinand Hodler)

Du folk apaisé, même heureux. Ca existe. Genry Gene en sait quelque chose. Du haut de ses 17 ans, le natif de Boston impressionne. Seulement 400 fans sur facebook? Qu'importe, ca ne l'affecte pas plus que ça. Il ne fait pas de promo particulière, et se contente d'offrir à qui l'entendra sa musique. Et puis, il en avait deux fois moins le mois dernier. Avec une base d'une chanson par mois depuis la création de sa chaîne youtube en janvier, Genry Gene suit son petit bout de chemin.

Avec une base d'un article par jour, le Comité suit le sien. Un soir de mars, ces deux chemins se sont rencontrés. Le Comité a découvert I'll Wander, chanson sur l'appel à découvrir le monde. Et est de suite tombé sous le charme. Un article en est sorti.

Aujourd'hui, Genry Gene nous offre Rebel, sa dernière création.

Du plaisir d'être en vie sous un ciel d'été, de porter la pluie comme un vêtement fin, de se sentir libre. Et puis, quand le malheur arrive, de voir le ciel s'assombrir peu à peu, les gens disparaitre, le langage se perdre. Mais ne pas désespérer.

Dreaming never needed two,

But I'll spare a thought to remember you.


Au final, ne pas y attacher tant d'importance, en rire à défaut d'en sourire, et laisser faire. Après tout, ne dit-on pas, "après la pluie le beau temps"?


I've got a shoe in my hand, its a beggar's tool

All worn out, but readily used.

And I'm wearing the rain like a light summer coat.

The spring is here so I'm taking it slow.


La la la la la la la la la la la la la

It feels so good to be free.

Still I'm picking at life with a golden needle, waiting to see if it bleeds.


And the air here is turning to smoke

It used to be clear now its blacker than most

And I could wash my face, I could take a walk,

But I'd still be stuck with all my wants.


I'd like to believe that there are stories to be told

Even if there isn't much to say.

But if sharing my thoughts means losing my soul

Then I'd rather not talk anyway.


The street is quiet and the lights are dead

And all good things have gone to bed.

Dreaming never needed two,

But I'll spare a thought to remember you.


And the fire is erupting from all my hidden burns.

I don't know, I don't know, but I hope that I have learned.


I was walking through the downtown marketplace

On a very busy day.

And the lady with the flowers was twisting her face

She said son are you okay.


Well the truth is it don't matter, I don't care much anymore

What's done is done is better

So we'll laugh it out the door.

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