mardi 31 mai 2011

#2 Le concert du mardi /// Fleet Foxes


Fleet Foxes - live @ Bataclan Paris (30.05.2011)


Tout d'abord, le Comité tient à s'excuser pour l'absence d'article hier, en raison d'un concert des Fleet Foxes qui a occupé plus de place que prévu dans notre espace temps.

En contrepartie, voici un debrief du concert et 2 vidéos accoustiques-minimalistes comme on les aime tant.

Mais avant ça, un petit retour en arrière de quelques jours.

Comme d'habitude, qui dit concert attendu dit essayer de retrouver la setlist du concert en avance en regardant les setlists du groupe ces dernières semaines (et pour ça, on ne peut que vous recommander ce site) et qui dit aussi préparer une playlist spotify avec la setlist s'approchant le plus du concert attendu.

Ceci étant fait, et après quelques jours d'écoute non stop pour se mettre dans le bain, nous voici arrivés au lundi 30 mai, 20h40, à 5 minutes de l'entrée des Fleet Foxes dans la salle bondée du Bataclan.

Démarrage accoustique instrumental suivi d'un parfait dosage de 1h30 entre morceaux de leur premier EP Sun Giant (Mykonos), de leur album éponyme (Your Protector, White Winter Hymnal, Oliver James, etc.) et de leur nouvel album (Montezuma, Grown Ocean, etc.).

Le chanteur enchaîne prouesses vocales sur fond de mélodies magiques, il fait chaud comme jamais, sur scène comme dans la salle, à tel point qu'à force d'enchaîner les performances, Robin Pecknold, le leader de Fleet Foxes, finit par s'essoufler et demander quelques minutes de repos, pour récupérer.

Nous ne sommes qu'à mi-show, et le public offre déjà une ovation digne des meilleurs fins de concerts. Bras levés, applaudissements maintenus et répétés, pieds qui tabassent le sols et "we love you" ambiants qui flottent dans l'air chaud.

Puis la musique reprend et suit son cours jusqu'à l'avant dernière magnifique et minimaliste Blue Spotted Tail (la préférée du Comité tout discographie confondue) :


Le concert se termine sur une énième ovation plus que méritée, qui fait revenir Robin Pecknod, seul avec sa guitare, pour jouer quasi acapela Oliver James, superbe dernière chanson du premier album.


Le rappel se finit ensuite de manière explosive par le single titre Helplessness Blues. Il est maintenant temps de regagner l'air frais et de parler de ce qu'il vient de se passer pendant les 2 dernières heures.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire